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Vers un monde de l'imaginaire
18 mars 2008

127 Extraits d'écologiste

image002    Comme un kaléidoscope, je m'attache à montrer les facettes de comment on peut changer notre monde  La critique d'un système corrompu doit à mon sens déboucher sur une manière positive de s'en sortir. A certains qui seraient prêts à tuer hommes politiques ou chefs d'entreprise, je leur réponds (parfois d'une façon voilée) de préférer la concorde. Ce serait d'un pessimisme noir de croire que certaines personnes ne peuvent changer de caractère.
    De temps en temps, il est bon de faire appel à sa mémoire pour se rappeler comment il y a 10, 20, 100 ans on appréhendait tel ou tel problème, pour voir que nos, mes idées progressent dans le sens où on l'a voulu. Maintenant, il est certain qu'un petit nombre d'individus décident aujourd'hui du sort de la planète entière. Relayés par leurs entreprises "Hénaurmes", qui peuvent acheter des états ou des marchés publics en petits bouts, ils (les Grands de l'Epargne) ont généré une majorité silencieuse qui ne pense qu'à se remplir la panse en obéissant servilement à l'autorité.
     Tel maître, tel chien (ou le contraire!). Selon leur logique (celle de ceux qui nous gouverne), les contestataires, ceux qui se pose des questions sur la société sont des toutous à rééduquer ou à abattre. La logique de la compétition, accompagnée du respect des traditions, les poussent à se dire que si certains veulent changer les choses, il faut qu'ils respectent les lois édictées par la société humaine au fil des siècles. Une telle assertion fait fi des expériences (ou tentatives de trouver des alternatives) étouffées dans l'oeuf. En partant du postulat inverse à celui couramment exprimé, on débouche sur des horizons complètement dégagés et pas forcément confinant vers l'anarchie la plus totale.
    On évolue toute une vie dans nos mentalité. Comme le dit Edward Goldsmith, la planète a besoin d'une revitalisation. Les plus belles roses ne poussent-elles pas sur du fumier? La décomposition de notre société et de notre environnement fait que les citoyens constatent actuellement le pourrissement (450 CRS pendant 3 jours pour défendre le MacDo de Millau  les 12,13 et 14 août 2001 coûtent approximativement 450 x 3 x 500F, soit environ 675 000 francs: c'est la facture à envoyer à Ronald et ça en fait des roqueforts. Et oui! la puissance publique a été mise à la disposition d'une entreprise privée).
    Pendant les vacances la mondialisation ne s'arrête pas: il faut que nous non plus nous ne lâchions pas le morceau.

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